= seuils de rêves | marlena braester [27.Nov.04 21:41] |
La froideur, le corps, la mort, le centre de la lune nous plongent dans l'ambiance obsédante et intolérable d'un rêve. Le poème ne s'effacera pas de la mémoire du lecteur. | |
= Réponse a Marlena Braester. | Iribarren [29.Nov.04 13:58] |
Chère Marlena, la froideur, le corps, la mort, la lune : oui, on peut les concevoir comme un rêve obsédant et intolérable, mais également accompagné d'une certaine beauté que j'essaie de transmettre. Du point de vue de l'univers, tout est beau, y compris ce qui nous paraît être le plus terrible selon notre perspective humaine. Je te remercie pour tes paroles pleines de présision et d'expressivité. Mes salutations les plus amicales, Gocho | |
+ Gocho | Nicole Pottier [29.Nov.04 14:07] |
Je salue également ta réponse, Gocho, et je te remercie pour tous ces poèmes très significatifs de l'identité sud-américaine, à travers ces description d'une nature exubérante, de ta présence parmi nous , et je remercie également Marta Covas pour ces traductions. (igualmente saludo yo tu respuesta, y te agradezco por todos estos poemas muy significativo - ¡a mi parecer !- de América Latina, a través tus descripciones de esta naturaleza exuberante, y por tu presencia entre nosotros, también le doy las gracias a Marta Covas por traducir tus poemas al francés.) ¡Un abrazo càlido! Nicole. | |
= Ricardo | lucia sotirova [30.Nov.04 12:33] |
"Dans la nuit les arbres se replient. Grimpent aux détours de la noirceur Et se perdent Tout en cherchant les froides lumières " "...reine des scarabées. Ton corps est maintenant le centre de la lune" - images qui entrent en résonnance avec le lecteur et produisent une forte impression poétique | |