= inexorable vieillissement | Nicole Pottier [10.May.05 11:35] |
Au réveil de la marche du temps, la maturité qui s'oppose à l'enfance, le temps rêvé, suspendu, endormi. Temps contre temps - mais pas à contre-temps !- qui imprime un beau rythme à ce poème: "tu voudrais" , "tu t'es perdue", "ta gorge retient maintenant" projection dans l'irréel, puis retour vers un passé proche qui nous ramène dans ce présent. Passé - présent s'opposent dans la violence du vocabulaire et des images : "broyer le coeur" "éventrer" "poupées sans sourire", illustrant l'impuissance de notre temps ("poussières de crachats") dans le Temps. Un regard qui se tourne en lui-même et se contemple à l'aide de ce pronom "tu" , renforçant par là-même la distanciation dans l'espace -temps. Bienvenue sur Agonia ! :) | |
= La clef du temps | Edilberto González Trejos [13.May.05 06:34] |
Lisette, La regarde en arrière pourrai paralyser nôtre flux vital, mais à la évocatión nous trouvons aussi même beaucoup de clefs à nos labyrinthes presents. Excellent travail!!! SONGO SONGO | |