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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2024-02-25 | [This text should be read in francais] | LE CAPUCIN VOLANT Dédicace : Au saint Pio de Pietrelcina, dit Padre Pio. Abstract : Le Capucin volant est une réflexion sur la relation entre l’évolution de l’homo sapiens et sur « L’Homme Avenir ». Une réflexion sur les espaces visibles et invisibles, contenus et contenants dans lesquels nous sommes immergés vous et moi. La sagesse du sage et du contemplatif est comme une éponge pour les énergies du Vide. Il n’y a pas plus infiniment proche de nous que ce vide qui fait de chacun de nous des récipients et des récipiendaires, des contenants et des contenus de la création. Que l’on parle de Mondes, d’Univers ou de Multivers, ce Cosmos ou ce milieu divin est une source inépuisable, celle de toute Conscience. Il se présente à nous comme un corps organique à 99 % invisible ; en perpétuelle croissance comme en éternelle Évolution. Le Cosmos, c’est tout un processus de complexification, dans un espace en continuelle expansion tout comme en perpétuel devenir. Cette réflexion s’adresse à tous les homos sapiens, des plus honnêtes au plus excessifs, des plus curieux aux plus fermés. Parce qu’après avoir savamment et brutalement exploré toutes les propriétés de ce petit pourcentage de matière visible, il est temps pour nous tous, larves d’homme, dans les ramifications de l’espace-temps, de nous pencher sur ces 99% de vide invisible et sur leurs propriétés créatrices. LE CAPUCIN VOLANT La nature n’a absolument pas « horreur du vide », car elle est le Vide par excellence, par nature et par essence. Le Vide transcende toute matière ! Seul l’homo sapiens a immensément peur du vide et plus encore de ses ombres et de ses propres néants. C’est pourquoi, depuis la nuit des temps, des tempes raisonnantes et des temples plus ou moins pieux, par anthropomorphisme, il ne cesse de transférer et de se projeter sur la nature, les créatures et les dieux ; réduisant ainsi le vide et le Cosmos à ses propres émotions, à ses pensées erronées, à ses croyances… Comme à ses démons intérieurs. Entre le voyage astral , la bilocation ou le ravissement, la téléportation, les transports classiques ou amoureux… Les Énergies, telles des Phoenix sont nos Maîtres, nos guides, accompagnateurs et protecteurs , des Anges gardiens comme des oiseaux pèlerin, capucins ou cardinaux… Certes, l’habit ne fait pas le moine, pas plus que l’homo sapiens ne fait l’homme ou que la plume ne fait l’oiseau ; il nous faut donc toujours ouvrir les yeux et élever notre niveau de conscience pour voir de nos propres vœux, penser juste et aller au-delà des apparences ; des semblants qu’il nous faut sans cesse dénuder au même titre qu’il nous faut évider les évidences, afin de pouvoir voler de nos propres zèles vers plus de vérité et de réalité sur l’Homme tel qu’il est en devenir ou en puissance d’être. Car un jour, sans savoir si celui-ci sera bon ou beau, il nous faudra accepter de nous transformer, de nous métamorphoser, ou de choisir un autre moyen d’être plus ; de changer de réalité, de croyance et destination pour prendre une meilleure direction. Un jour, il nous faudra choisir entre la pétrification ou l’envol ; opter pour la pleine conscience et l’éveil comme une pleine transparence, ou bien choisir l’opacité des obscurités. Choisir tous les soirs au coucher ou tous les matins au réveil, entre la lumière et les ténèbres, entre vivre d’éveil ou de nos ombres, n’est guère facile, c’est là le jihad intérieur, la guerre sainte pour chacun et chacune d’entre nous. Plutôt que de rester là , médusé jusqu’à la fin de nos vies successives, il nous faudra bien un jour, choisir entre les mirages et les miracles de la vie, entre les illusions tenaces et toujours plus de Vérité, jusqu’à devenir lumière, ange ou papillon, mouette des espaces de vacuité ou hirondelle du cyberespace. Tel Horus ou comme des aigles spirituels, il nous faudra trouver le point de convergence et la juste conjonction, l’équilibre ou le juste alignement entre l’espace vacuel (99 % d’espace quantique) , l’espace virtuel avec tous ses possibles, et cet espace matériel qui nous tient par les nerfs, et qui pourtant ne représente qu’un tout petit pour cent de notre condition dite « humaine » ; pauvre réalité (matérielle) que l’on parvient encore à maltraiter de toutes les façons, et qui pourtant ne représente qu’un tout petit pour cent d’un « Réel grand R » qui sans cesse nous dépasse par son nombre incommensurable d’inconnues . (…) Le Capucin volant (extrait) |
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