agonia romana v3 |
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■ ​recviem pentru o inutilitate lascivă străpunsă de neobositul trident al lui neptun ![]()
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2014-11-02 | [Acest text ar trebui citit în francais] |
cette nuit, suspendue entre samedi et dimanche, je recule le temps d’une heure, une vingtaine d’années et sept fuseaux horaires... je me cherche... celle que j’étais, pour voir si j’avais changé... ou, c’est tout ce temps-là qui fait de moi quelqu'un toujours en quête de soi...
étais-je une autre? suis-je la même? peut-être, je joue à cache-cache avec les deux... tout ce que mon âme retient des deux états d’esprit s’appelle n’oublie rien, pour ne pas te laisser aller par un autre mythe, beaucoup plus dangereux que n’importe quel mensonge! et... les faiseurs de rêves ne rêvent pas, n’est-ce pas? est-ce qu’on peut vraiment pardonner sans oublier? je ne sais rien du tout! ou, si cela arrive, il n’y avait rien à pardonner?! la Roumanie est si différente vue d’ici, à une distance qui varie entre une heure, sept fuseaux qui filent le temps et les vingt ans sans retour... l’Amérique! le mythe... en l’approchant, tu sens comment il tue, avec son sourire conquérant, tout espoir... pour t’en sortir, tu dois t’accrocher fortement à l’amour qui tue toute barrière... mais, je continue de me promener dans notre rue, où les gardiens de nos rêves restent, à jamais, les tilleuls, même en hiver... d’un coup, je glisse... .......................................................................... ................................................................. je me dresse sur la pointe des étoiles en espérant effleurer ton rêve volant tu me couronnes de fleurs de tilleul et tu me laves avec ses arômes murmurant je t’adore... prends ce petit pot en terre bénie mets-le sur l’escalier au nom chéri bois l’eau pure qui l’a rempli et laisse-toi aller... là où j’suis ton étoile couverte d’infini...
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