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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2022-04-10 | [This text should be read in francais] | Submited by Guy Rancourt Ô toi, pure et sainte, Toi, sœur de Phébus bien-aimée ! Tu m’as pris sur ta poitrine Et porté à travers champ. Et sur une tombe tu m’as déposé Tel un thuya en pleine croissance, D’un brouillard, tu m’as recouvert. Et tu m’as réveillé et tu as chanté Et la magie a agi … Et moi… Ô mon enchanteresse ! Tu m’as secouru partout, Tu as pris soin de moi toujours. Dans la steppe, la steppe désertique, Dans ma longue captivité, Tu as illuminé fièrement Comme une fleur dans un champ ! De mon odieuse caserne Pur, saint L’oiseau s’est envolé Et avec moi Tu es sorti et tu as chanté Toi, d’or … Comme de l’eau vive Tu as lavé mon âme. Et je vis, et au-dessus de moi De toute ta beauté divine Tu illumines tendre Étoile magnifique ! Qui me guide depuis toujours ! Ne me quitte pas. La nuit Le jour et le soir, et à l’aube Sois toujours à mes côtés, dirige-moi, Apprends à mes lèvres À ne dire que la vérité. Aide-moi Pour que ma prière arrive à destination. Et si je meurs, mon saint ! Ma mère ! Mettez Votre fils dans son petit cercueil Et qu’au moins une larme Sorte de tes yeux immortels. Nijni Novgorod 9 février 1858. Traduit par Jacky Lavauzelle
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