Ton nom résonne l’amour et la douleur
la côte du verbe, les pleurs du cerf
tu t’avances dans l’agglomération des mots
ayant des étoiles de mer, de ciel,…
sur les épaules, les bras, les tempes,
tu fais rentrer le cri en vague d’inquiétudes
et dans des étamines de chant,…
je ne veux pas qu’on meurt dans les arcs-en-ciel du soir
en portant notre ceinture de la rêverie sur le ventre

les paroles sont de fausses coquettes en bâton
fardées de bleu et noir,…
laissant leurs amours en gage sur le quai
et dans „la poche” du facteur aveugle
se glissant comme une taupe
. . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . .
parmi les arbres de la lumière.