agonia deutsch v3 |
agonia.net | Richtlinien | Mission | Kontakt | Konto erstellen | ||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
||
![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() | |||||
Artikel Gemeinschaften Wettbewerb Essay Multimedia Persönlich Gedicht Presse Prosa _QUOTE Drehbuch Spezial | ||||||
![]() |
|
|||||
![]() |
![]()
agonia ![]()
■ Ich hörte es kommen... ![]()
Romanian Spell-Checker ![]() Kontakt |
- - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2010-05-17 | [Text in der Originalsprache: francais] |
Si tu me cherches au printemps,
Tourne ton regard vers le jardin ! Je serai dans le pistil de chaque fleur Bavardant avec toutes les abeilles. Si tu me cherches en été dans les montagnes Quand le soleil brûlant te transformera en cendres, Je serai la source, en attendant que tu arrives Qu’elle touche tes lèvres avec des gouttes fraîches. Si tu me cherches en plein automne, Peut-être me trouveras-tu finalement. Je serai la pluie qui frappe à ta fenêtre Quand les chiens de la nuit hurlent à la mort. Si tu me cherches en hiver dans le parc Peut-être serai-je revenue de l’autre monde En t’attendant, je vais neiger en abondance, Pour habiller tout de blanc un robinier. Je vais toucher une branche au hasard Et quand tu passeras, je tomberai sur tes cheveux. De mes lèvres froides j’embrasserai ta joue Et c’est à ce moment-là que tu sauras que c’était moi.
|
||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|||
![]() | |||||||||
![]() |
Eine virtuelle Heimstätte der Litaratur und Kunst | ![]() | |||||||
![]() |
Bitte haben Sie Verständnis, dass Texte nur mit unserer Erlaubnis angezeigt werden können.
Copyright 1999-2003. agonia.net
E-mail | Vertraulichkeits- und Publikationspolitik